• Maîtrise en philosophie, concentration en études féministes
    • Université McGill, 2015
  • Baccalauréat en philosophie
    • UQÀM, 2011

J’ai soutenu ma thèse de doctorat en philosophie en mai 2024. Je m’y intéresse aux perspectives féministes en phénoménologie existentielle, à comment les sujets incarnés prennent l’espace selon leur genre et comment cela est interconnecté aux rapports sociaux de genre dans les espaces publics. Comment nos mouvements, notre démarche, notre apparence renvoient-ils au féminin ou au masculin dans l’espace public ? Et en retour, est-ce que les espaces publics actuellement construits favorisent le déplacement de certains corps genrés ?  L’espace public actuel, patriarcal, renforce la domination masculine sur les autres corps genrés. Également, je travaille sur les affects et je me spécialise sur leurs aspects féministes. Par exemple, existe-t-il un doute féminin ? Comment la charge mentale se vit-elle chez les femmes ou les personnes marginalisées ?  Je développe aussi une expertise sur l’histoire des écoféminismes comme faisant partie des mouvements féministes du 20e et 21e siècles.